source: entretien avec Eckhart Tolle
Un jour de l'an 18??, dans le village où vivait le maître Hakuin, respecté par tout son entourage et déjà fort connu, se répandit une étrange rumeur. La fille de son voisin, enceinte de jeune âge, avait déclaré à ses parents que le père de l'enfant était maître Hakuin. Furieux les parents de la fille jettèrent l'opprobe sur le moine qui fut jeté aux bans de la communauté villageoise. Et quand vint au jour l'enfant, les grandsparents le portèrent chez le moine en lui disant : "puisque vous en êtes le père, eh bien occupez-vous-en maintenant!". Hakuin prit l'enfant et prononça juste ces mots :"Ah bon!"
Et maître hakuin s'occcupa de l'enfant;
Cependant, un an plus tard, la fille et mère de l'enfant, prise sans doute de remords, avoua à ses parents l'identité du véritable géniteur, le fils d'une famille de notables. Piétrifiés de honte à l'idée des accusations qu'ils avaient adressées au maître, ils finirent par se rendre chez lui pour reprendre l'enfant et implorer ses excuses. Ils se prosternérent devant lui e se confondirent en excuses. La seule réponse du maître fut : "Ah bon!"
Un jour de l'an 18??, dans le village où vivait le maître Hakuin, respecté par tout son entourage et déjà fort connu, se répandit une étrange rumeur. La fille de son voisin, enceinte de jeune âge, avait déclaré à ses parents que le père de l'enfant était maître Hakuin. Furieux les parents de la fille jettèrent l'opprobe sur le moine qui fut jeté aux bans de la communauté villageoise. Et quand vint au jour l'enfant, les grandsparents le portèrent chez le moine en lui disant : "puisque vous en êtes le père, eh bien occupez-vous-en maintenant!". Hakuin prit l'enfant et prononça juste ces mots :"Ah bon!"
Et maître hakuin s'occcupa de l'enfant;
Cependant, un an plus tard, la fille et mère de l'enfant, prise sans doute de remords, avoua à ses parents l'identité du véritable géniteur, le fils d'une famille de notables. Piétrifiés de honte à l'idée des accusations qu'ils avaient adressées au maître, ils finirent par se rendre chez lui pour reprendre l'enfant et implorer ses excuses. Ils se prosternérent devant lui e se confondirent en excuses. La seule réponse du maître fut : "Ah bon!"
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